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Nouvelles Fantastiques Publiées dans "La Dépêche de Tahiti"
Introduction - LA MANIPULATION en français - LA MANIPULACIÓN en español -
Nous devions inventer une histoire fantastique ayant pour thème principal : les yeux. Mon récit se passe dans le futur, en 2010. Un homme, né pendant la Seconde Guerre Mondiale, découvre son passé et raconte pourquoi son existence fut extrêmement bizarre tout au long de sa jeunesse. Il dévoile les secrets concernant le monde médical de cette guerre dont il fut l'un des principaux cobayes sans le savoir. En effet, ses parents moururent quelques jours après sa naissance.
Ecrit le 1er août 2010
Je suis né le vendredi trois novembre mil neuf cent quarante, pendant la Seconde Guerre Mondiale. Ma mère accoucha dans un hôpital rempli de personnes blessées, mourantes à cause de la guerre. Il faisait très froid la nuit où la sage-femme me fit naître, ses mains couvertes du sang qui appartenait aux soldats. Mais ma mère mourut quelques jours après, elle mourut de peine et de douleur. De peine parce qu'elle avait apprit qu'une tuerie avait eu lieu dans le camp de concentration où mon père travaillait comme médecin en Pologne, et de douleur parce que ma naissance fut très difficile pour cette femme que je n'ai jamais connue.
J'ai eu une existence très étrange, de ma naissance (et même avant!) jusqu'aujourd'hui alors que j'ai soixante-dix ans et que j'ai décidait de vous dire la vérité en ce qui concerne les médecins et la guerre.
Après de nombreuses recherches sur ma famille, j'ai découvert la vérité :
Mon père se nommer Hernan Itchkov et ma mère Margarita Itchkov Sanchez. Hernan, mon père, travaillait pour la O.M.G.S (Organisation de Manipulation Génétique de Survie) quand il rencontra ma mère. Cette organisation fut créer pendant la guerre de 1914-1918. Cette société cherchait la manière de créer un homme qui pourrait voir la nuit (comme les chats) Je fus le premier cobaye. Durant les visites gynécologiques de ma mère, le médecin lui injectait quelques sérums qui devaient "faire que le bébé vivent bien". Mais mon père avait tout prévu. Il voulait que je sois cet "homme de la nuit". Il le voulait, mais en faisant cela, il a ruiné ma vie. Il me vendit à ses supérieurs. En effet, de ma naissance jusqu'à mes cinq ans, mes yeux étaient blancs. Ils n'avaient ni pupille ni couleur, rien. Je ne voyais rien, ni personnes. L'expérience avait mal était faîte. Au lieu de voir la nuit, j'étais aveugle. Je raconte tout cela parce que je veux que vous compreniez mieux ce que j'ai vécu.
A l'âge de six ans, mes yeux commencèrent à se former. J'avais un œil bleu et un œil vert avec des reflets jaunes. Les médecins ont dû m'apprendre à regarder sans que les yeux me fissent mal. Tout le monde était en admiration quand il voyait mes yeux et on me disait : "Quelle chance!". Je ne comprenais rien à ce qui se passait. De plus, je ne savais rien de ma famille et la femme et l'homme qui me gardaient ne me disaient rien.
Seulement, quand j'eus quatorze ans, j'étais très agité pendant mon sommeil. Je ne savais pas pourquoi. Je suis allé chez le médecin. Il ne savait pas non plus pourquoi et me dit : "Tu dois être somnambule ou alors tu rêves de choses qui te font peur. Ecoute-moi. Met une caméra devant ton lit et regarde ce qui se passe".
Je fis ce qu'il me dit mais je ne pus dormir et mes yeux me faisaient énormément mal. La nuit suivante je vis sur la cassette une chose horrible! terrible! Mes yeux se baladaient la nuit! Pendant que je dormais! J'étais extenué et je pleurais comme un petit enfant. Je réfléchis et pensa pendant un moment. "Oh…! Cela doit être mes amis qui ont falsifié la cassette …" La nuit suivante, je refis la même opération quand un de mes yeux s'en alla et se cogna contre la porte. J'étais sur le point de m'évanouir. Je criais de toutes mes forces, pleurant, quand tout à coup mon œil droit sortit de son orbite pour aider l'œil gauche mais je ne voyais plus rien. Mes yeux ne me faisaient pas mal. Je me cognais contre tout et je m'évanouis.
Je me réveilla le matin. Tout était normal. Mes yeux étaient à leur place! Je me regardais dans le miroir. Il n'y avait rien de surnaturel. "Il n'y avait rien! Rien de surnaturel!" Mais ma tête me faisait mal et je vis mes yeux se tourner sur eux-mêmes. Quand mes yeux arrivèrent au niveau de l'intérieur de ma tête, je pus voir mon cerveau. "Ce n'est pas possible…" "Ai-je réellement dormis ou ai-je rêvé? Qui peut le dire?"
DORET Caroline
1°L1
février 2003
Escrito el 1 de agosto de 2010
LA MANIPULACIÓN
Nací el viernes trece de noviembre de mil novecientos cuarenta, durante la segunda guerra mundial. Mi madre me dió a luz en un hospital lleno de personas heridas, muriendo por la guerra. Hacía muy fresco durante la noche cuando la comadrona me dió la vida, sus manos cubiertas de sangre que pertenecía a los soldados. Pero mi madre murió unos días después, murió de pena y de dolor. De pena porque había sabido que la matanza había ocurrido en el campo de concentración donde mi padre trabajaba como médico en Polonia, y de dolor porque mi nacimiento fue muy difícil para esta mujer que yo no nunca conocí.
Tuve una existencia muy extraña, desde mi nacimiento (¡y aún antes!) hasta hoy que tengo setenta años y que decidí decirles a ustedes la verdad sobre los médicos y la guerra.
Después de numerosas búsquedas sobre mi familia, he descubierto la verdad:
Mi padre se llamaba Hernán Itchkov y mi madre Margarita Itchkov Sánchez. Hernán, mi padre, trabajaba para la O.M.G.S (Organización de Manipulación Genética de Supervivencia) cuando encontró a mi madre. Esta organización fue creada durante la guerra de mil novecientos catorce-mil novecientos dieciocho. Esta sociedad buscaba la manera de crear a un hombre que pudiera ver por la noche (como los gatos). Fuí el primer conejo de indias humano. Durante las visitas ginecológicas de mi madre, el médico le inyectaba algún suero que debían "hacer que el bebé prosiguiera su existencia". Pero mi padre lo había previsto todo. Quería que yo fuera este "hombre de la noche". Lo quería, pero haciendo esto, arruinó mi vida. Me vendió a sus superiores. En efecto, desde mi nacimiento hacia mis cinco años, mis ojos eran blancos. No tenían ni pupila ni color, nada. No veía nada, ni a nadie. La experiencia había sido mal hecha. En lugar de ver por la noche, estaba ciego. Cuento todo esto porque quiero que ustedes entiendan bien lo que he vivido.
A la edad de seis años, mis ojos empezaron a formarse. Tenía un ojo azul y un ojo verde con reflejos amarillos. Los médicos debieron enseñarme a ver sin que me dolieran los ojos. Todo el mundo estaba en admiración cuando veía mis ojos, atraían a la gente que me daba besitos y me decía: "¡Qué suerte!". No entendía nada de lo que me pasaba. Además, no sabía nada de mi familia y la mujer y el hombre quienes me cuidaban no me decían nada.
Solamente, cuando tuve catorce años, mis sueños empezaron a ser muy excitados. No sabía por qué. Fuí al médico. Éste tampoco sabía por qué y me dijo: "Quizás seas un sonámbulo o que sueñes cosas que te dan miedo. Escúchame. Pón una cámara delante de tu cama y mira lo que pasa."
Hice lo que me decía pero no pude dormir y a mí me dolían mucho los ojos. La noche siguiente, ví en la casete una cosa ¡horrible! ¡terrible! "¡Mis ojos se paseaban la noche! ¡Cuando dormía!" Estaba extenuado y lloraba como un pequeño niño. Reflexioné y pensé por un momento. "¡Oh…! Deben ser mis amigos quienes han falsificado la casete…" La noche siguiente, volví a hacer la misma operación cuando uno de mis ojos se fue y se golpeó contra la puerta. Estaba a punto de desmayarme. Grité con todas mis fuerzas, llorando cuando de repente mi ojo derecho salió de su agujero para ayudar al izquierdo pero no veía nada. No me dolían los ojos. Me golpé contra todo y me desmayé.
Me deperté en la mañana. Todo estaba normal. ¡Mis ojos estaban ahí! Me miré en el espejo. No había nada sobrenatural. "¡No hay nada! ¡Nada sobrenatural!" Pero me duele la cabeza y miré mis ojos convulsionarse sobre sí mismos. Cuando mis ojos llegaron al nivel del interior de mi cabeza, pude ver mi cerebro. "No es posible…" "¿He dormido o soñado realmente? ¿Quién puede decírlo?"
DORET Caroline
1°L1 Février 2003
